La Coupe du monde des footaises ou Jésus vs César
Personne ne veut Jésus qui est le pain de Vie céleste, alors nous avons César, l'antique pain moisi terrestre et ses jeux. Rien de nouveau sous le soleil d'or-gueil des siècles humains et leurs révolutions. Nous avons le graal, vrai coupe de Vie : personne ne le veut. Nous avons le Maître: peu le veulent. Alors nous avons la coupe du monde de mort, culte au veau d'or et nous avons un maître : Mammon... La punition: les peuples des nations envahissent la nouvelle judée qu'est la France. Il y a pourtant un chat pelé dans la rosière près du cellier. Le vin nouveau y coule à flot. Le vin revigore un homme, une nation, un monde, un univers, perdus qu'ils sont depuis le début du temps.
Je ne boirai pas à la coupe du monde: J'en suis déjà trop ivre. Ce vin amère et doux, je l'écope de mon navire. Ainsi, naviguerai-je vers des flots nouveaux; certes à la dérive. Mais le Ciel, c'est une infinie rive !
"J'ai su" un jour que le pain, sérieux, sans les jeux, c'était du pain béni.
"Ces arts" ne m'enchantent pas du tout,
J'me prends les pieds dans le filet dans cette partie de "fous".
La lutte: sots chialent à se faire hernie fiscale.
Ils miaulent du lait à la marâtre tétine,
Mais martre n'est pas fouine,
Celle-là ne fréquente pas d'églises,
Car comme le loup, en agneau, il se déguise.
De la tête aux pieds, on est dans le bourbier.
Mais çà sert à rien de s'énerver: "Prière de ne pas déranger".
Les chats, pelés, tombent du ciel
C'est bombance substantielle,
Pour celui qui a faim
Le Ciel est à la fin
A l'ombre d'une figuière
J'ai dévoilé ces vieux mystères
Sous les voiles de la mariée
Obéissez, faites ce que je vous dirai
Le vin nouveau coule à flot,
Le canard prend son bain dans l'eau
Il suffit de demander
Alors, le soleil revient
Les problèmes: au vestiaire,
Il est déjà écrit, le vieux testamentaire
Les vacances :divinement agréables.